Vous vous réveillez un samedi plein d’entrain.
Vous vous apprêtez à partir en mission photo. Photo de paysages. Vous avez repéré des coins sympas autour de vous.
Vous vous préparez, vous checkez votre matériel, batteries chargées, objectifs lustrés, chaussures ficelées.
Vous ouvrez la porte et là que voyez vous ? Un énorme nuage de fumée dans le ciel !
Mais vous n’avez pas la gorge qui vous démange ni les yeux qui vous brûlent, pas d’incendie. Cette fumée, c’est un énorme nuages GRIS. Les nuages du mauvais temps (bon si vous êtes Breton vous n’avez rien remarqué car c’est normal).
Là vous faîtes demi-tour, vous retourner dans votre lit vous palucher devant Netflix.
Grave erreur !
Retenez ça : vous ne pouvez pas changer le temps, mais vous pouvez changer votre manière de photographier. Une fois que vous aurez compris ce principe simple, aucune journée ne sera jamais perdue.
Si l’idée d’un ciel gris évoque une certaine négativité, il est important de comprendre qu’il évoque aussi une ambiance (un « mood ») spécifique qui peut fonctionner dans moultes situations de paysage.
Mais à cela se rajoute un petit défi TECHNIQUE : lorsque le ciel est plus clair que la terre, votre appareil photo va généralement surexposer le ciel, transformant en une grosse zone un grise très claire ou un blanche, avec toute la partie au sol sous-exposée.
Alors, comment tirer parti des temps gris ? Quelles techniques de post-traitement utilisées ? Quels scènes sont adaptées à ce type de temps ? Quel type de pose s’apprête à cette situation ? Vais-je encore poser beaucoup de questions comme ça pour éveiller votre curiosité ?
Et bien c’est ce qu’on va voir dans cet article ! Allez en avant Guingamp !
Version vidéo ici :
Version podcast audio :
Comment prendre des photos de paysage par temps couvert ? (Au lieu de se palucher devant Netflix) – PhotoManiac
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- À la chasse aux couleurs
- L'heure bleue
- Accentuer
- Le filtre polarisant
- Des branches avec des feuilles et de l'H2O en mouvement
- Faker un lever ou un coucher de soleil comme un fieffé coquin
- Essayer la mauvaise balance des blancs
- Ciel gris et balance des blancs
- Composer pour ou contre le ciel
- Dans le prolongement du recadrage…
- Détail et rappel technique : faîtes péter les ISO
- Filtre gradué neutre
- Flou de mouvement et les expositions longues
- Fouttu pour fouttu : le noir et blanc !
- Le noir et blanc en ville
- La plage
- Adoptez le minimalisme
- Motifs et les abstractions
- Conclusion
À la chasse aux couleurs
Habituellement la lumière au coucher et au lever du soleil recouvre le paysage avec des teintes saturées. Elle lui donne des couleurs.
Mais quand le ciel est couvert, l’éclairage naturel n’offre pas les teintes nécessaires à une photographie riche en couleurs.
Alors comment faire ?
Plusieurs solutions :
- Recherchez un sujet d’une couleur vive qui viendra contrebalance le gris global .
- Un ciel couvert signifie une lumière douce et tamisée. Profitez-en pour rechercher des couleurs sourdes qui ne sont pas visibles habituellement dans la lumière saturée du coucher de soleil. Comme des violets et des bleus doux. Les jours nuageux ces couleurs prennent leur revanche !
- Après un orage, il est également possible de prendre de belles images aux couleurs profondément saturées. Même avec le plus morne des ciels, une forêt aura un aspect vif et vert. (Apportez votre filtre polarisant pour limiter les reflets des gouttes).
- Faire une longue exposition (j’en parle plus en-dessous)
L’heure bleue
Lorsque les conditions sont difficiles (ou simplement ternes), une bonne idée est prendre des photos pendant les heures bleues, après le coucher du soleil ou avant son lever.
L’heure bleue permet 2 choses :
- Prendre des photos avec un temps d’exposition encore plus long (la lumière est encore plus douce que pendant une journée nuageuse)
- Redonner des couleurs à l’ensemble !
Accentuer
Pour tirer davantage parti des conditions nuageuses et brumeuses, mettez l’accent sur les structures des nuages tout en veillant à ne pas faire ressortir les hautes lumières du ciel.
Même si la photo en RAW peut sembler plate (on s’en tape en soit car le RAW ça se développe), les structures des nuages peuvent être révélées en post-traitement.
Alors comment faire ?
- Parez-vous de votre plus beau filtre gradué (sur Adobe Lightroom ou Photoshop) pour vous focaliser sur les nuages : l’effet ne couvrira que la partie supérieure de l’image et s’estompera progressivement, ce qui permet de créer des modifications d’aspect naturel (pas comme les seins de certaines vieilles dames sur la plage).
- Vous pouvez régler « l’exposition » pour commencer (en fait ce curseur porte mal son nom : il s’agit de la luminosité que vous réglez et non de l’exposition, qui elle se fait à la prise de vue).
- Rajoutez aussi un peu de contraste (car ces photos en manquent souvent), la saturation, la clarté, la netteté et la couleur.
- Diminuez un peu les hautes lumières
- Éventuellement la correction du voile aussi, pour enlever un peu de brume ou nettoyer un atmosphère peu clair (mais bien souvent ce n’est pas ce qu’on cherche ici)
Et… on devrait être pas mal ! (enfin pas physiquement, je parle de la photo désolé).
Le filtre polarisant
Les conditions nuageuses créent une lumière diffuse : une lumière douce qui ne crée pas d’ombres dures (vidéo lumière dure et douce). Cela peut vous permettre de créer des photos à l’atmosphère lunatique et à l’aspect féérique.
- Le filtre polarisant par temps nuageux ou pluvieux permet de faire ressortir les couleurs.
- Mais aussi et surtout il permet de limiter les reflets du ciel gris ou presque blanc sur les surfaces mouillée qui peuvent créer des zones claires non souhaitée dans la scène.
Des branches avec des feuilles et de l’H2O en mouvement
Les conditions nuageuses, pluvieuses et brumeuses peuvent également être utilisées à votre avantage, car elles réduisent la visibilité de l’arrière-plan et mettent davantage l’accent sur le sujet principal.
Lorsque vous préparez l’itinéraire de votre prochaine expédition photographique, essayez d’inclure des zones de forêts et de chutes d’eau afin de pouvoir prendre de bonnes photos même si les conditions climatiques ne sont pas favorables.
Faker un lever ou un coucher de soleil comme un fieffé coquin
Cette technique est particulièrement importante lorsque vous souhaitez créer une photo colorée avec un ciel lumineux même s’il n’y a pas de véritable lever ou de coucher de soleil dans le coin qui vous permettrait d’obtenir des couleurs oranges / dorées.
« Mais comment qu’on fait ? » me diriez vous d’un air étonné, mais tout autant admiratif avec une pointe de curiosité laissant place à une amertume coloré de nervosité frénétique (non ça ne veut rien dire).
Servez vous de de la lumière artificielle d’une ville voisine !
- Identifiez une scène intéressante à proximité d’une ville.
- Prenez des photos environ entre 45 et 90 minutes avant le lever ou après le coucher du soleil.
- Longue exposition : avec votre meilleur trépied, votre petit déclencheur à distance, votre malicieux mode bulb (au cas où l’éclairage changerait), l’option « réduction de bruit pour les longues expositions » pour enlever les pixels chauds au-delà de 4 minutes. Ce point n’est pas obligatoire mais permet de capturer le ciel orange vif passant progressivement à des couleurs plus froides.
Cette botte secrète (mais qui n’est que tromperie) permet d’avoir un bon équilibre entre la lumière de la ville orangée et l’heure bleue (bleue).
Il faut que la ville soit assez proche, que les nuages soient assez bas (ou les lumières assez fortes),
Essayer la mauvaise balance des blancs
Les règles de la photographie sont parfois destinées à être transgressées, y compris celles qui consistent à toujours utiliser la bonne balance des blancs.
Un « mauvais » réglage de la balance des blancs peut créer un ciel plus spectaculaire. Et c’est particulièrement le cas lorsque vous prenez des photos en début ou en fin de journée : l’utilisation d’un autre préréglage de la balance des blancs permet de modifier la couleur du ciel.
- Les préréglages de la balance des blancs « Auto », « Nuageux » et « Ombragé » permettent d’obtenir un coucher de soleil orangé avec un ciel bleu clair (avec de légères variations de chaleur de la scène en fonction du réglage choisi).
- « Fluorescent », en revanche, rendra généralement un coucher de soleil orange violet avec un ciel bleu brillant.
- Tungstène offre un effet similaire, mais avec des couleurs encore plus profondes.
L’utilisation des températures Kelvin pour régler la balance des blancs permet de contrôler avec plus de précision les couleurs du ciel. Vous avez plus d’options pour choisir un réglage de balance des blancs qui capture au mieux les couleurs de vos photos :
- À environ 5500K, vous capturerez généralement un ciel ensoleillé avec une balance des blancs précise, c’est-à-dire où les choses blanches en vrai sont bien blanches sur la photo
- Une température plus élevée de 6500K par exemple : donnera à la terre une lueur orange mais rehaussera également les couleurs d’un coucher de soleil.
- Une température plus froide, comme 3000K ressortir les bleus et les violets.
Note : choisir le format RAW vous offre encore plus de souplesse pour ajuster les couleurs du ciel (et du reste de l’image, d’ailleurs). Essayez différents préréglages de la balance des blancs pour voir comment une balance des blancs différente affecte la photo.
Ciel gris et balance des blancs
En mode automatique les ciels gris ont tendance à afficher une lumière froide qui semble bleue sur vos photos.
Si c’est ce que vous souhaitez obtenir : vous pouvez utiliser un préréglage « lumière du jour » pour augmenter le bleu.
Si ce n’est pas ce que vous souhaitez, réglez votre balance des blancs sur « Nuageux » pour obtenir une balance des couleurs plus neutre.
Composer pour ou contre le ciel
Lorsque le ciel est plus spectaculaire que le sol, pourquoi ne pas en faire votre sujet principale et le mettre en avant dans votre composition ? (Ne me répondez pas « pourquoi pas » svp)
Prêtez attention à l’endroit où vous placez l’horizon lorsque vous composez votre photo. Utilisez la règle des tiers pour imaginer que l’image est divisée en trois, puis placez l’horizon sur l’une de ces lignes horizontales.
Si vous prenez une photo avec un ciel d’apparence moyenne, essayez de placer l’horizon dans le tiers supérieur de l’image, afin que le sol soit plus présent sur la photo, comme ceci :
Vous pouvez même pousser le concept plus loin et faire en sorte que le ciel n’occupe qu’1/4 du cadre.
Si le ciel est vraiment spectaculaire, profitez-en pour l’inclure davantage dans le cadre, en plaçant l’horizon dans le tiers inférieur :
Si le ciel pue littéralement la merde : supprimez-le.
Une ligne d’horizon remplie de ciels plats et ternes, sans rien de spécial (comme moi par exemple) pour contrebalancer : ce n’est pas FOLICHON FOLICHON (comme disaient les gens jadis).
Donc en gros : R-E-C-A-D-R-E-Z.
Effectuez un recadrage précis et concentrez-vous sur les éléments importants que vous souhaitez mettre en valeur, ou limitez sa place sur la photo. SURTTOUUUUUUUUUUT si vous savez que vous n’allez pas trop développer la photo et donc vous retrouver avec une grosse bande blanche morte.
Bien sur dans certains cas cet espace négatif peut fonctionner !
Dans le prolongement du recadrage…
Pour ce conseil on n’est plus sur de la photo de paysage et donc je triche un peu (tapez-moi sur les doigts svp).
Mais je vais le rappeler quand même : les ciels gris sont parfaits pour plein d’autres types de photographie : fleurs, portraits (mais pas de votre belle-mère), macro (la lumière uniforme d’un ciel gris est parfaite), photos de détails. Alors si vous voulez vous essayer à ce type de photos : c’est le moment mon petit bonhomme !
Autre idée : trouver une personne portant une couleur vive sur un fond gris ou avec une texture intéressante fera ressortir votre sujet et donnera vie à l’image.
Détail et rappel technique : faîtes péter les ISO
Rien de plus con que de prendre des photos. De revenir chez soi. De les ouvrir sur son ordinateur. Et de sentir ce long frisson vous parcourir le dos quand vous constatez avec horreur qu’elles sont TOUTES floues !
Tout ça parce que vous avez oublié (ou eu peur) d’augmenter votre réglage ISO (et que vous n’avez pas vérifié votre temps de pose aussi et que vous n’avez pas utilisé de trépied).
Vous vous retrouvez donc avec un temps de pose trop long. Et à main levée il suffit de pas grand chose pour que tout soit flou.
Au pire vous pourrez dire à vos proches pas très calés en photo que c’était un effet artistique voulu (en plus ça existe)!
Selon le degré de grisaille ou d’obscurité du ciel et de la composition, vous pouvez commencer par un réglage bas, par exemple 400, et voir à quel point la photo est nette. Vous pouvez monter vos ISO assez haut tant que vous exposez correctement jusqu’à 800 sur un capteur APS-C et 1600 voire 3200 sur un 24×36.
Pensez aussi à utiliser un trépied (ça change tout en photo de paysage) et à checker le temps de pose de vos photos si vous êtes à main levée (en général en-dessous de 1/60 s ça sera flou).
Filtre gradué neutre
Un filtre à densité neutre « classique » ça revient à mettre des lunettes de soleil sur votre objectif : il limite la lumière entrante pour les scènes trop lumineuses ou les expositions longues.
MAIS un filtre à densité neutre GRADUÉ (notez le mot supplémentaire) place cet effet d’assombrissement uniquement sur UNE PARTIE de l’image.
« Mais quel intérêt ? » (En parlant d’intérêt, comment se porte votre dernier prêt bancaire tiens ?)
En plaçant la partie sombre du filtre sur un ciel lumineux, vous pouvez exposer correctement l’ensemble de la scène.
Sans filtre à densité neutre graduée, la partie aérienne sera souvent surexposée (=>perte d’informations, développement limité), ou la partie terrienne sera sous-exposée (=>perte d’informations, développement limité, apparition de bruit numérique).
Avec le filtre, vous pouvez obtenir une exposition qui fonctionne pour les deux parties de la scène.
Le seul inconvénient est que les filtres à densité neutre graduée ne fonctionnent pas très bien avec les horizons irréguliers. Comme en milieu urbain par exemple.
D’ailleurs, les filtres à densité neutre graduée existent en format circulaire… MAIS AUSSI CARRÉS ! Le format carré est souvent apprécié car il permet de placer l’horizon n’importe où dans le cadre.
Flou de mouvement et les expositions longues
Les expositions longues ne servent pas seulement à photographier les chutes d’eau.
Si vous utilisez un temps de pose suffisamment long, les nuages se brouilleront également, créant un ciel de traînées sinueuses et une légère sensation de mouvement.
Les meilleurs réglages dépendent un peu de la météo et de l’importance du flou de mouvement que vous souhaitez (plus le temps de pose est long plus le flou de mouvement est visible).Vous pouvez commencer par une exposition de deux minutes et l’augmenter ou la diminuer à partir de là.
Si vous prenez des photos en plein jour, il se peut que vous ne puissiez pas équilibrer une exposition de deux minutes avec une ouverture suffisamment étroite ou une sensibilité ISO suffisamment faible : vous obtiendrez alors une photo beaucoup surexposée.
Dans ce cas utilisez un filtre à densité neutre, qui permet de bloquer une partie de la lumière afin de pouvoir effectuer une longue exposition pendant la journée.
Les expositions longues ont également tendance à mettre en valeur les couleurs qui sont difficilement visibles à l’œil nu. Si vous réglez votre appareil photo pour prendre des expositions longues avant l’aube, même par temps couvert, vous pourriez être agréablement surpris par la quantité de couleurs dans vos photos.
Fouttu pour fouttu : le noir et blanc !
Les photos de grands espace par temps couverts manquent parfois de contraste et ont assez peu de couleurs à revendre, alors au lieu d’essayer ABSOLUMENT de vouloir rattraper tout ça pourquoi ne pas embrasser fougueusement les défauts du ciel gris ?
On enlève complètement la couleur : on se met en noir et blanc. HOP HOP HOP !
Cela va permettre de de présenter votre sujet différemment. L’attention de l’œil ne sera plus « distraite » par les couleurs mais pourra profiter des détails, des formes, des différentes zones de luminosités et de textures de votre paysage.
Vous pouvez même ajouter un peu de grain au développement !
Le noir et blanc en ville
Je parle de paysage mais on peut très bien parler de paysages de villes ! Un temps couvert et un passage au noir et blanc va à ravir avec les quartiers industriel de la ville, éventuellement abandonnés (en mode urbex). Là aussi vous pouvez ajouter du grain .
Les jours gris, les ombres sont généralement réduites et il est possible de faire ressortir davantage de détails des vieux bâtiments délabrés et des usines qui s’élèvent vers le ciel.
Le rendu décontrasté des temps couvert, et la facilité de mesure de l’exposition est une véritable revanche sur tous les moments où vous avez galéré à exposer sous un grand soleil. VENDETTA !
La plage
Non je ne parle pas de ce film avec Di Caprio (né le même jour que moi d’ailleurs).
Une plage prend un caractère complètement différent pendant les jours gris. L’eau qui s’étend jusqu’à l’horizon se mêle au ciel, formant parfois un spectre continu.
Les ombres des rochers sont plus douces et on peut souvent y repérer plus de vie. On mettre en avant des sujets isolés avec tout cet espace négatif.
Les zones rocheuses avec les vagues qui viennent se fracasser dessus fonctionnent bien aussi !
Ça change quoi ! De la plage ensoleillée qui est dans la réalité synonymes de milliers de corps de touristes cramant sous le soleil !
Adoptez le minimalisme
Adoptez le minimalisme et la simplicité.
Dans la photo ci-dessous, la longue exposition de l’eau et l’introduction et le ciel gris permettent de créer un grand espace négatif qui créent une photo minimaliste spectaculaire et met aussi en valeur les formations rocheuses et la bouée.
Ah et la classique photo de ponton avec coucher de soleil.
Et ba ici QUE NENNI !
En introduisant beaucoup de ciel (gris, n’est-ce pas) on invite le spectateur à entrer dans la scène le long de la jetée.
Motifs et les abstractions
Les compositions très graphiques causées par de fortes ombres d’un grand soleil n’existeront pas par temps nuageux.
Au lieu de cela, vous devrez trouver des motifs réels pour réaliser des compositions graphiques fortes.
Les sillons d’un champ stérile, les branches d’un arbre sans feuilles, de vieux piliers de pont traversant un lac…
Les motifs sont partout, et ils constituent des sujets idéaux à cette époque de l’année et dans ce type de lumière.
Conclusion
Et voilà ! On touche à la fin de cet article sur la gestion d’un ciel gris. J’espère que vous avez appris pas mal de trucs ! Commentez vos astuces ou décrivez vos plus belles photos ou moment sous un ciel gris en commentaire !
On se retrouve sur les internets mondiaux !
P.S. : en parlant de ciel gris, un nuage gros et gris souvent ça pisse de l’eau, allez voir mon article sur la photo sous la pluie.
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